Avec tout ça, je me rends compte que ça fait pas mal longtemps que je n’ai pas parlé de travaux personnels. Seconde vidéodanse avec ma partner après POP. Le morceau de musique est issu d’une collaboration entre Björk et le musicien français Hector Zazou et est paru dans le disque du dernier : Chansons des mers froides. Comme souvent, une première version avait été filmée dans l’un des studios de la fac de Paris 8, puis mécontent du résultat (notamment de la façon dont rendait le décor). Un remake a donc été filmé un peu plus tard, mélangeant les images de mer filmées à Pornic (chez moi donc) et les séquence sur la plage filmées à Sète (chez elle donc) et même si j’ai a déplorer quelques soucis de continuité et de fluidité dans le montage (et Julie de rajouter : « surtout une danse qui fait pitié »), il y a quelque chose que j’aime dans cette esthétique, l’opposition tripartite terre/mer/ciel. Depuis les latitudes glacées de l’Islande jusque dans les mers chaudes du bassin méditerranéen, l’histoire – somme toute classique vous me direz – d’une créature hésitant entre la mer et la terre, tentant de s’élever, de s’arracher de son milieu, jusqu’à s’effondrer, frappée par la malédiction de la gravité.
Visur Vatnsenda Rosu : une autre vidéodanse.
Avec tout ça, je me rends compte que ça fait pas mal longtemps que je n’ai pas parlé de travaux personnels. Seconde vidéodanse avec ma partner après POP. Le morceau de musique est issu d’une collaboration entre Björk et le musicien français Hector Zazou et est paru dans le disque du dernier : Chansons des mers froides. Comme souvent, une première version avait été filmée dans l’un des studios de la fac de Paris 8, puis mécontent du résultat (notamment de la façon dont rendait le décor). Un remake a donc été filmé un peu plus tard, mélangeant les images de mer filmées à Pornic (chez moi donc) et les séquence sur la plage filmées à Sète (chez elle donc) et même si j’ai a déplorer quelques soucis de continuité et de fluidité dans le montage (et Julie de rajouter : « surtout une danse qui fait pitié »), il y a quelque chose que j’aime dans cette esthétique, l’opposition tripartite terre/mer/ciel. Depuis les latitudes glacées de l’Islande jusque dans les mers chaudes du bassin méditerranéen, l’histoire – somme toute classique vous me direz – d’une créature hésitant entre la mer et la terre, tentant de s’élever, de s’arracher de son milieu, jusqu’à s’effondrer, frappée par la malédiction de la gravité.
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