D’un point de vue personnel, j’ai commencé il y a quelques mois l’animatique de mon prochain projet, un court métrage avec quelques concepts un peu particulier. C’était si particulier que j’ai vite ressenti, une fois que le scénario a été terminé, que la processus le plus simple pour montrer la validité de mes concepts à mon équipe technique et à mes acteurs, résidait dans l’élaboration d’un animatique complet du film. A tel point que j’en profite pour retravailler mes dialogues directement dans l’animatique [écrire des dialogues, c’est vraiment pas mon fort, et en anglais c’est encore plus évident] et que je considère ça comme mon véritable scénario, un “visual screenplay” so to speak. De plus le retour des gens a qui je l’ai montré a été largement plus positif que lors de la simple lecture du scénario [d’une oeuvre particulièrement visuelle]. Et en terme de planning, de préparation, et surtout de proof of concept [vu que le film a un concept très particulier] les avantages sont innombrables. Ca devrait permettre de pallier aux défauts de rythme, d’exploration du concept central, qui faisaient défaut avec mon court précédent, The Interview [qui je pense aurait vraiment bénéficié d’une animatique, même si ce n’était qu’un dialogue filmé, j’aurai ainsi pu identifier plus tôt les problèmes liés au scénario, à la structure et au rythme].
Previs Documentary - Part 1
La prévisualisation ou animatique est un outil encore méconnu dans l’art de la production audiovisuelle et pourtant, c’est un outil qui risque de supplanter le storyboard. A l’orgine conçu pour aider à la préparation des scènes complexes, notamment en terme d’effets spéciaux, il peut-être utilisé comme un travail préparatoire à l’ensemble d’un film, permettant d’explorer les possibilités dramatiques de scènes plus classique, travaillant sur les angles de caméra, les positions des acteurs, leur interaction avec le décor, etc. Ce court documentaire présente cet art encore méconnu.
D’un point de vue personnel, j’ai commencé il y a quelques mois l’animatique de mon prochain projet, un court métrage avec quelques concepts un peu particulier. C’était si particulier que j’ai vite ressenti, une fois que le scénario a été terminé, que la processus le plus simple pour montrer la validité de mes concepts à mon équipe technique et à mes acteurs, résidait dans l’élaboration d’un animatique complet du film. A tel point que j’en profite pour retravailler mes dialogues directement dans l’animatique [écrire des dialogues, c’est vraiment pas mon fort, et en anglais c’est encore plus évident] et que je considère ça comme mon véritable scénario, un “visual screenplay” so to speak. De plus le retour des gens a qui je l’ai montré a été largement plus positif que lors de la simple lecture du scénario [d’une oeuvre particulièrement visuelle]. Et en terme de planning, de préparation, et surtout de proof of concept [vu que le film a un concept très particulier] les avantages sont innombrables. Ca devrait permettre de pallier aux défauts de rythme, d’exploration du concept central, qui faisaient défaut avec mon court précédent, The Interview [qui je pense aurait vraiment bénéficié d’une animatique, même si ce n’était qu’un dialogue filmé, j’aurai ainsi pu identifier plus tôt les problèmes liés au scénario, à la structure et au rythme].
D’un point de vue personnel, j’ai commencé il y a quelques mois l’animatique de mon prochain projet, un court métrage avec quelques concepts un peu particulier. C’était si particulier que j’ai vite ressenti, une fois que le scénario a été terminé, que la processus le plus simple pour montrer la validité de mes concepts à mon équipe technique et à mes acteurs, résidait dans l’élaboration d’un animatique complet du film. A tel point que j’en profite pour retravailler mes dialogues directement dans l’animatique [écrire des dialogues, c’est vraiment pas mon fort, et en anglais c’est encore plus évident] et que je considère ça comme mon véritable scénario, un “visual screenplay” so to speak. De plus le retour des gens a qui je l’ai montré a été largement plus positif que lors de la simple lecture du scénario [d’une oeuvre particulièrement visuelle]. Et en terme de planning, de préparation, et surtout de proof of concept [vu que le film a un concept très particulier] les avantages sont innombrables. Ca devrait permettre de pallier aux défauts de rythme, d’exploration du concept central, qui faisaient défaut avec mon court précédent, The Interview [qui je pense aurait vraiment bénéficié d’une animatique, même si ce n’était qu’un dialogue filmé, j’aurai ainsi pu identifier plus tôt les problèmes liés au scénario, à la structure et au rythme].
3 commentaires:
-
Yep envoies :)
Tres sympa cet article!C'est vrai que les previz c'est super cool, ça donne de bonnes directives, et puis surtout tu vois dans quel sens ils veulent aller, car pour l'ancien monteur que je suis, c'est parfois frustrant de bosser que sur un plan sans le voir dans une sequence...
Sinon aussi les previz c'est fun, car tu regardes et tu te dis, oh boy, comment on va faire ça en DEF? :)