Bien que tout le monde en ait déjà parlé, je ne peux pas passer à coté de Shapeshifter, sorti en début d’année [c’est l’inconvénient de prendre des vacances, après on est à la bourre], court métrage réalisé par le studio Charlex qui parle grosso modo de la translation des formes comme lien dans la vie et l’univers, via des animaux biomécaniques. La démonstration technique est bluffante, dommage qu’ils aient choisis comme forme de départ et d’arrivée une voiture, faisant rentrer le film dans une esthétique pub qui retire un bout de poésie à l’ensemble [du coup ça ressembe à un appel du pied pour dire: “hé! hé! Copain, moi aussi je sais faire des pubs pour des bagnoles qui rutilent, file moi plein de sous” plutôt que de faire un court métrage pour l’amour de raconter une histoire [alors évidemment un court métrage sert AUSSI à promouvoir son talent, mais bon. Là, l’arrière pensée est un peu évidente]. Je ferme la parenthèse].
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