Vas-y que j’t’explose la djeule !

*Quel titre à la fois mystérieux et attractif*

Une fois n’est pas coutume, vous allez avoir droit à de la photographie. J’en parle peu car faut bien admettre que je n'y connais pas grand-chose. Je ne suis pas ignare et je sais qui est Robert Doisneau et Diane Arbus, j’ai même déjà dû voir deux ou trois de leurs photos, mais c’est vrai que c’est pas ce qui me fait me lever le matin. Non bon j’exagère un peu, je m’y connais un peu plus que ce que je veux bien l’admettre, mais mon kif à moi, c’est l’image qui bouge, on ne se refait pas.

Alors, introducing Martin Klimas, photographe allemand. Son truc à lui, c’est de faire tout péter (« les bases secrètes surtout » me souffle mon moi intérieur) et de figer l’acte sur pellicule photosensible (bon, de nos jours, c’est probablement des gros tas de pixels, mais je ne laisserai mourir les expressions pompeuses comme ça). Et finalement, figer le mouvement n’est-il pas le meilleur moyen de le faire surgir ? Hein ? Je vous pose la question. Non ne répondez pas, je ne vous entendrais pas.